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La Fast Fashion aujourd'hui : un désastre social, environnemental et sanitaire 

1° Pollution massive & matériaux non recyclables 

La mode rapide est responsable de 10% des émissions mondiales de CO2, soit plus que tous les vols internationaux et le transport maritime réunis`

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Elle est également le 2e plus gros consommateur d'eau industriel, nécessitant environ 3800 litres d'eau pour un seul jean

87% des fibres textiles sont incinérées ou mises en décharges alors que moins de 1% sont recyclés. 

L'usage :massif des matériaux synthétiques ( polyester nylon, acrylique...) entraîne un rejet de microplastiques : 35% de ceux présents dans les océans proviennent du lavage des vêtements. 

2° Les conditions de travail inhumaines 

La production repose souvent sur un travail des enfants, des femmes et des hommes dans les usines où les droits fondamentaux sont bafoués. 

En Bangladesh, par exemple, 90% des ouvriers sont des femmes, avec des sessions de travail de 10h à 12h par jour, peu de pauses et des environnements toxiques. 

De nombreuses enquêtes internationales ont mis en lumière des pratiques de travail forcé et le recours au travail des enfants dans plusieurs pays fournisseurs de l’industrie textile, notamment au Bangladesh, en Inde ou en Indonésie.

3° Danger pour la santé 

Des études récentes : révèlent la présence de produits chimiques toxiques et métaux lourds dans les vêtements bon marché, susceptibles de provoquer des allergies et risques sanitaires. 

Les fibres issus de plastiques, imprégnées de substances chimiques, suscitent des préoccupations tant pour les travailleurs. que pour les consommateurs.

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Acheter moins mais mieux : solution gagnante sur tous les plans 

Investissement initial plus important, mais économies durables : un vêtement qualitatif et durable peut-être porté plus de 30 fois, ce qui réduit le coût par port. 

Moins de gaspillage : réduire le volume d'achats limite le remplissage inutile de placards et dresse une garde-robe optimisée. 

Préservation de la santé et de la planète : moins de toxiques, moins de microplastiques, moins de décharges, moins de CO2 

Respect des droits humains : les vêtements plus solides sont souvent issus de filières plus éthiques, ou les ouvriers sont mieux traités. 

Faits chiffrés sur l'usage réel de nos vêtements 

Les personnes portent en moyenne seulement 20% de leurs vêtements réguliers.

Une étude rapporte même que 61% des Américaines se retrouvent en "panique vestimentaire" malgré leurs placards remplis 

Le phénomène dite "loi des 20/80" montre que 20% des pièces constituent 80% de nos tenues, tandis que 50 à 80% de nos vêtements restent inutilisés. 

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